Les transporteurs du pays ont entamé une grève sur toute l'étendue du territoire national. Dans la capitale sénégalaise, aucune transport en commun n'est visible dans les différentes artères de la ville. Les charrettes sont devenues le transport de luxe pour les citoyens.
Pas de taxi, ni de car rapide ou encore moins de bus dans les artères de la capitale sénégalaise. Aucun embouteillage n'est noté dans les points où il y avait une forte affluence.
Les usagers de la route mettent des heures dans les différents arrêts et finissent par prendre les charrettes.
Les charretiers ont profité de cette grève pour transporter les gens vers leur destination.
Les prix varient de 100 à 500 francs et les charrettes parcourent les distances habituels des cars rapides.
Elles vont dans toutes les destinations et les conducteurs crient pour dire au client qu'ils vont dans tel ou tel lieu.
Toutefois des affrontements ont été notés au niveau des Hlm entre chauffeurs de taxi et charretiers. Les forces de l'ordre sont intervenues pour rétablir l'ordre et la circulations des charrettes a reprit de plus belle.
Les charretiers font de bonnes affaires et vont même jusqu'à souhaiter que la grève des transporteurs continue.
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